Selon une étude menée par un professeur du CHU de Besançon, le soutien-gorge n'aurait aucune vertu en matière de maintien de la poitrine féminine.
Une étude menée sur un échantillon de 330 femmes menée par le professeur Jean-Denis Rouillon du CHU de Besançon vient heurter une idée reçue : le soutien-gorge n'aurait aucune vertu en matière de maintien de la poitrine féminine. Ce serait même le contraire, rapporte ce mercredi France Info. Un panel de 130 femmes a été étudié par le professeur, ajoute encore la radio.
"Il s'agit d'un groupe non représentatif de la population générale", précise d'emblée Jean Denis Rouillon. ."Donc il serait dangereux de conseiller au femmes d'arrêter des mettre un soutien-gorge. Mais nos premiers résultat valident l'hypothèse que le soutien-gorge est un faux besoin. Médicalement, physiologiquement, anatomiquement, le sein ne tire pas bénéfice d'être privé de l'apesanteur car dans ce cas, les tissus de soutien ne vont pas se développer et même ils vont s'étioler et le sein va progressivement se dégrader. "